28/09/2014

Never Sky, tome 3 : Always Blue

SUN IN THE SKY YOU KNOW HOW I FEEL
La nouvelle vie d'Aria peut commencer..


De : Veronica Rossi
Edition :   Nathan (2014)
Pages : 359
Premières impressions : J'ignore qui fait les illustrations de cette saga mais à chaque fois que je vois la couverture, je suis en admiration. J'aime beaucoup cette dernière couverture, la confrontation entre Sédentaires et les Sauvages. Les couleurs aussi sont pour beaucoup. J'ai qu'une hate : lire cet ultime tome.
Une chanson pour illustrer : Feeling good de Nina Simone

CE QUE DIT LA 4EME DE COUVERTURE


Alors que le domaine de Rêverie s'est effondré, Sédentaires et Sauvages tentent tant bien que mal de cohabiter dans les grottes où ils se sont réfugiés. Mais les ressources s'épuisent et le départ devient inéluctable, même si les tempêtes font rage au dehors. S'ils veulent survivre, il leur faut rejoindre le Calme Bleu, un lieu encore épargné par les ravages de l'Ether. Pour cela, Perry et Aria, plus unis que jamais, doivent délivrer Cinder, un mystérieux garçon qui peut contrôler l'Ether. Il est retenu prisonnier par Sable, le cruel chef de la tribu des Cornans...


MON AVIS



Article avec des spoilers du tome 2 et peut être du tome 1



C'est avec beaucoup de plaisir mais aussi une pointe de tristesse que j'ai entamé la lecture du troisième et dernier tome de Never Sky.
Alors que les deux premiers tomes étaient des coups de coeur absolus, je reste sur ma réserve pour Always Blue.

Pourtant ce roman avait tout pour être un excellent dernier tome - une intrigue principale du tonerre: la cohabitation entre Sédentaires et Sauvages, le kidnapping de Cinder (le seul capable de canaliser l'Ether) par Sable, un chef de clan tyrannique. L'histoire s'annonçait EXPLOSIVE.
Particulièrement dans ce tome, on perçoit l'affrontement des sédentaires et des sauvages - ils sont réunis dans cette même mission mais on ressent vite des tensions, la méfiance est palpable tout au long du roman.
Always Blue est le plus riche en action, en rebondissement, le lecteur assiste à des scènes d'une rare violence mais on reste sur notre faim. On perd vite le rythme, ça devient irrégulier car on alterne des moments intensifs et d'autres beaucoup moins.

Dans Always Blue les personnages ont mûri. Aria semble s'être parfaitement acclimatée à la vie sauvage, elle aide les sédentaires à vivre dans ce nouveau lieu. Perry, prend conscience de sa responsabilité en tant que chef de clan. Roar reste vraiment le personnage le plus intéressant de cette saga, on le découvre différemment et cette nouvelle fragilité renforce notre attachement à ce personnage.
La grosse surprise de ce tome se trouve dans le développement des personnages secondaires : Soren se dévoile, on apprend à mieux le connaitre, une révélation peut être un peu tardive. La personnalité complexe de Sable se présente au fur et à mesure dans la lecture, apportant une tension continue à l'histoire.
Les relations développées dans les tomes continuent à évoluer : Roar et Aria est une des plus belle amitié que j'ai eu l'occasion de lire. Le lien qui se développe entre Perry et son clan augmente petit à petit, un sentiment de confiance se met en place, mais aussi des scènes fraternelles notamment face à l'adversité .

Mais malheureusement je n'ai pas aimé certaines directions que faisait prendre Veronica Rossi à ses personnages et au scénario en lui-même. Le personnage de Cinder est relayé au second plan, il ne devient plus indispensable.


Par exemple, je ne comprends pas - Pourquoi Veronica Rossi décide de nous faire une révélation sur la famille d'Aria dans Always Blue ? Cette information n'a pas l'impact escompté car elle est très peu exploitée au final.
Les chapitres étaient plus compacts, j'ai eu le sentiment persistant que le texte était moins fluide, cela peut s'expliquer en partie par le fait que le traducteur n'est pas le même que pour les deux premiers tomes.
Ma principale déception est pour cette fin vite expédiée.
Une fin où on aurait des choses à dire, à développer. C'est assez frustrant quand cette saga vous plait de voir que certains dénouements ne vous conviennent pas !

Always Blue est un très bon tome mais il est en dessous du niveau général de la saga. Je conseille vivement cette saga pour tous les bons moments de lecture que j'ai passé. A titre de comparaison, je la préfère à Hunger Games et Divergente.
Si je dois dire un mot sur ce tome : FRUSTREE !


On retrouve sur la toile depuis un petit moment, le dream cast de cette saga. Je ne connais pas le nom du bel Apollon proposé pour Perry mais j'aime beaucoup :P . Pour Roar, la toile s'emballe pour l'acteur Matt Bomer … why not ?

Une équipe, c'est comme ça que Reef avait qualifié leur groupe avant le départ. Mais ils n'était pas une équipe. Loin de là.
Ils étaient six individus aux idées pour la plupart divergentes.(…)
Aria entrouvit les paupières, et son regard se posa sur Roar.
Ils avaient besoin de vengeance.


6 commentaires:

J'avais eu un gros coup de coeur pour le premier tome. Je devrais relire d'une traite la série, car je ne me souviens plus du deuxième livre ><

Malgré ta frustration et le fait que tu aies trouvé ce tome un peu en-dessous des 2 autres, j'ai tout de même toujours envie de lire ce 3ème et dernier tome : comme toi, Never Sky est au-dessus de Divergent et Hunger Games dans mon coeur :) (enfin je ne parle que pour les tomes 1 comme je n'ai pas encore lu les suites hiihih)
Bon dimanche !


@Alicia : Oui c'est préférable ! Le premier est génial
@Cajou : oui je le conseille quand même mais les deux premiers étaient si bien ! Bon dimanche


@Alicia : Oui c'est préférable ! Le premier est génial
@Cajou : oui je le conseille quand même mais les deux premiers étaient si bien ! Bon dimanche

Je ne suis pas tentée par cette série mais si par un heureux hasard, c'est Matt Bomer qui joue Roar, pourquoi pas ?!?

Je te l'achèterai quand elle sera en poche… malheureusement Matt Bomer est trop vieux je pense pour le rôle ! Il a un petit frère ?? :P